Bonsoir,
Martin, je répond simplement aux personnes qui se sont exprimés sur l’affaire Camponovo dans ces commentaires, et je ne fais aucun commentaire sur le reste, si tu veux bien : chacun voit l’engagement et le soutien à sa manière, c’est chic de penser à Thierry et Nicolas, encore employés là-bas, après avoir signalé l’affaire ici-même il y a 11 mois. J’espère simplement que tout le monde comprendra que l’ambiguité de la situation est encore plus délicate qu’il n’y paraît…
J’aimerais remercier les charmantes personnes qui, un an après l’affaire, continuent de montrer leur soutien aux salariés licenciés, dont je fais partie.
Nous verrons ce que l’affaire prudhommale donnera dans les mois à venir, c’est un mécanisme bien lent, nous apprenons, mes anciens collègues et moi, à nous en rendre compte… Mais nous gardons espoir que l’abus dont nous estimons avoir été victimes (nous avons tous grossi les rangs des demandeurs d’emploi) sera reconnu.
Merci en tout cas de nous soutenir, d’une manière ou d’une autre.
Voilà (et merci Martin pour le côté « tribune » de ton blog).
Julien Misserey